Notre première participation au salon du livre de Caen (les 15 et 16 mai 2004) a été très intéressante, car elle nous a donné l'occasion de nous faire connaître. Pendant ce salon nous avions lancé une souscription pour un premier livre (« Eloge de l'épaisseur ») qui nous a permis de l'éditer depuis (tirage épuisé, mais empruntable à la bibliothèque municipale de Caen) à 100 exemplaires numérotés. Nous présentions nos productions avant le lancement officiel des Editions du Chameau, et nos productions récentes. A cette occasion nous avons édité un catalogue. Bernard LOUVEL était présent sur notre stand le samedi 15 mai, pour dédicacer son coffret qui est épuisé depuis la fin du salon. Nous avons organisé une exposition-lancement de la souscription pour le coffret n°1 de la Collection Plum'Art le 04 décembre 2004 dans la galerie. Nous conservons quelques images de cette manifestation, qui a connu un très grand succès, car elle nous a permis d'atteindre plus de 80 souscriptions.
Nous avons organisé en janvier une deuxième exposition de lancement du coffret à la librairie Hémisphères à Caen, avec des lectures de poèmes, puis une troisième au lycée Laplace de Caen. Nous avons présenté le dernier ouvrage de Bernard LOUVEL, intitulé « Amant de la muse plastique », lors de l'exposition Bernard LOUVEL-Gérard LANGE du 14 au 29 mai 2005. Ce livre-objet (tirage sérigraphique original) a été tiré à 100 exemplaires numérotés et vendu 15 €. Nous avons présenté officiellement les exemplaires du coffret n°1 de la Collection PLUM'ART au salon du livre de Caen les 21 et 22 mai 2005. Cela nous permis de faire des rencontres très intéressantes et des projets pour l'avenir. Ce coffret a été tiré à 200 exemplaires numérotés. Nous en avons vendu plus de 140, couvrant tous les frais de fabrication. A l'occasion de ce salon 2005, nous avons également lancé une souscription pour le premier livre de Marguerite VACHER, intitulé « Arthur et la métaphysique ». Nous avons pu sortir avant l'été 100 premiers exemplaires numérotés d'Arthur. Nous avons fait un retirage de 100 nouveaux exemplaires en septembre et une séance de signature avec Marguerite VACHER fin novembre à la librairie « Au brouillon de culture » à Caen. Nous avons également profité de nos rencontres au salon du livre et ailleurs, pour lancer un appel à témoignage sur les pratiques artistiques (cf. la rubrique « actualité »).
A l'occasion du salon du livre de Caen nous avons présenté deux nouveaux livres « Sardaigne au coeur » de Fabienne Lachèvre-Frongia et Anna Frongia et « Scènes d'automne, théâtres japonais » de Bernard Louvel et Véronique Leredde. Nous lançons trois projets par souscription (Driss Chajri, Cécile Dalnoky et Darius) et nous présentons l'ouvrage du photographe chinois Pok Chi Lau. Nous avons été reçu au salon du livre d'AUDRIEU le 24 septembre 2006, pour y présenter notre catalogue. Ce salon très sympathique ouvert aux auteurs normands, nous a permis de montrer notre travail.
Présentation du livre de Pok Chi Lau : Pok Chi Lau est un photographe chinois qui réside actuellement aux Etats-Unis. Il a sorti en 2002 (Editions Pace Hong Kong Publishing Ltd. - Lalaverie) un livre de photographies (prises depuis 1974) sur la diaspora chinoise dans les villes nord américaines. Nous avons présenté son livre intitulé « Rêves de la Montagne d'Or » au salon du livre de Caen. Nous avons organisé en mai dernier une exposition à la Galerie avec les tirages originaux de son livre. (*), 2002. Pour plus d'informations sur Pok Chi Lau et son livre : http://www.goldenmountaindream.com
Nous avions un stand au salon du livre de Caen les 12 et 13 mai, pour y présenter les nouveautés 2007 (6 titres) et les livres au catalogue.
Nous avons présenté les publications des éditions du chameau du 16 avril au 03 mai à la bibliothèque d'Hérouville St Clair, avec une soirée débat animée par Patrick Hurel, autour du livre Matière(s) le jeudi 03 mai à partir de 20h30.
Pour la sortie du livre « Quel petit tableau à demi caché au fond de la terre » aux Editions du Chameau, une soirée Oulipo autour de Georges Perec a été animée par les comédiens Rémi Larcher et Aude Abéguilé. Cette soirée était accompagnée d'une exposition pédagogique autour de la construction du livre. A cette occasion le four à pizza a été allumé par le pizzaïolo. Les souscripteurs du livre ont reçu leur exemplaire ce samedi 2 juin .
Une rencontre avec Véronique LEREDDE et Bernard LOUVEL a été organisée le 04 juillet 2007 à la Bibliothèque de Caen autour de leur livre « Scènes d'automne, Théâtres japonais » édité aux éditions du Chameau.
Les 8 et 9 septembre, s'est tenu à Dives/Mer la première biennale du livre d'artistes "Biblio PARNASSE" organisée par l'Association ARTLIBRIS. Les Editions du Chameau étaient présentes, mais bien d'autres aussi. Pour plus d'information, vous pouvez consulter le site : http://www.artlibris-biblioparnasse.com
Samedi 8 décembre a eu lieu à la galerie un apéro/concert/expo avec les auteurs et les membres de l'atelier "lalalère", atelier de chansons de la MJC de Cherbourg-Octeville, dirigé par S. Fleury et O. Umhauer. Il s'agissait du lancement de la souscription du livre "La Pudeur du Ciel", livre de chansons, de dessins et de photographies réalisé par F. Lemonnier, V. Lomaszewicz, K. Marsilly et O. Umhauer.
Nous avions un stand au salon du livre de Caen les 24 et 25 mai dernier. Ce fût pour nous l'occasion de présenter les 4 nouveautés 2008, ainsi que les projets en cours.
A l'occasion de la sortie du livre d'Alain Lambert et de Bernard Louvel intitulé "ABCDER en fatragramme et fatrabble", vue dans la presse :
A
l'occasion du lancement du livre « Le mystère de la boîte à
visages »Alain LAMBERT et Bernard LOUVEL ont invité à la Galerie
175 le samedi 18 avril à 18h, pour un concert exceptionnel, le pianiste
de jazz Zool FLEISCHER (biographie sur France Musique http://www.radiofrance.fr/francemusique/bio/fiche.php?numero=20180621).
Les Editions du Chameau étaient présentes au salon du livre de Paris du 13 au 18 mars 2009. Nous étions juste en face des éditions Actes Sud, sur le stand « Livres en Normandie », associant le Centre Régional des Lettres (CRL) de Basse-Normandie et l'Agence Régionale du Livre et de la Lecture (ARL) de Haute-Normandie. Ce fût l'occasion de rencontres riches et variées ! ...
Nous avions un stand au salon du livre de Caen les 16 et 17 mai dernier. Ce fût pour nous l'occasion de présenter les nouveautés 2008-2009, ainsi que les projets en cours.
Le ministère de la Culture et de la Communication, par le biais de la Direction régionale des affaires culturelles de Basse-Normandie, a soutenu financièrement les Editions du Chameau. Nous lui en sommes très reconnaissant.
Les Parnassiens
pour un livre différent
Poésies et Cinéma
23, 24 et 25 septembre
Exposition des planches du "Roman d'Arthur"
à l'espace culturel du centre Leclerc de Tourlaville.
18 mai - 11 juin 2011
Présentation du livre LOST AGAIN de William Bailey dans le fanzine Bol d'Encre de l'Association caennaise Acc@Bd, disponible sur le salon.
Pour mieux connaître William Bailey voici une interview donnée par sa femme Brigitte Bailey et leur fils Martin à l'occasion de la sortie du fanzine Bol d'Encre N°14, mars 2011.
William
Bailey est un artiste amateur normand décédé recemment. Il a réalisé de
magnifiques illustrations ( cf couverture et quatrième de couverture)
et planches de bande dessinée. A l'occasion de la sortie d'un livre
regroupant la plus grande partie de ses travaux, Bol d 'Encre lui
consacre un numéro. Lors de la première interview qui va suivre, sa
femme, Brigitte, et son fils, Martin, nous ont permis de mieux
comprendre la genèse de l'œuvre de William Bailey.
Bol d' Encre : Pouvez-vous nous dire d’où vient sa passion pour le dessin, quand a-t-il commencé à dessiner ?
Brigitte
Bailey : Il a commencé, je pense, très jeune à dessiner. En fait, je
pense, il a toujours dessiné. Peut-être plus la période autour du
Lycée, c’est plus là qu’il a commencé à m’en parler et tout le temps ça
l’a accompagné, toute sa vie en fait. Il pouvait y avoir des périodes
d’interruption qui pouvaient durer quelques mois, c’étaient des
périodes de blues, un peu, « ça sert à rien donc j’arrête »,
c’était plus ça (…).
A-t-il suivi une école, des cours ?
Non.
Complètement autodidacte ?
Il
aurait souhaité, effectivement, faire une école de graphisme mais
bon, à l’époque, les parents, ce n’est pas très sérieux, pas d’avenir,
pas de débouchés, ça mène à rien.
Et par la suite, a-t-il suivi des cours ?
Il aurait voulu prendre des cours de gravure mais, avec ses horaires de travail, ce n’était pas très facile (…).
Au
niveau de son travail, on ne voit que des planches finalisées, pas
d’ébauches, de travaux préparatoires… Comment son style a-t-il évolué,
a-t-il toujours travaillé en grand format, sur de grandes
illustrations ?
Oui, il a toujours travaillé sur du
grand format. Au départ, il travaillait surtout à l’encre de Chine, que
du noir et blanc, des nuances dans les gris… Après, quand il a eu
quelques contacts avec des éditeurs, on lui a dit qu’il faudrait quand
même passer à la couleur (…). Il s’est mis à la couleur, mais
progressivement. Il a varié un peu ses formats en fonction de ce qu’il
faisait, si c’était de la bd (format un peu plus petit) ou si c’était
de l’illustration (grand format : format raisin).
Il faisait déjà une distinction entre bd et illustration ?
Oui
(…). En fait, ce qu’il aurait aimé faire, c’est choisir un bouquin et
l’illustrer et pas le contraire. C’était ça qu’il voulait faire. Mais
il ne savait pas si c’était possible, comment il pouvait faire…
Ses influences étaient plutôt science-fiction, fantastique ?
C’était
assez éclectique en fait. Il pouvait lire du roman noir américain,
enfin, c’est surtout des écrivains américains, il pouvait lire
Lovecraft… Quand il est allé aux Etats Unis, on est allé à Providence
(…), des trucs complètement fous comme ça ! Non, mais c’est
horrible Providence, ce n’est pas possible, c’est pour ça qu’il a dû
écrire des trucs pareils !
Il peut aussi être passionné par Jules Verne, Stevenson…
Ou Arthur C. Clarke (son fils).
Aussi James Ellroy… C’était très étendu, on ne peut pas dire qu’il avait des écrivains de prédilection(…).
Et au niveau bande dessinée ?
Tardi, il adorait Tardi, Moebius mais aussi Poumeyrol, de Crécy
Schuiten, Guarnido (son fils).
Il
attachait beaucoup d’importance au graphisme (…). Il voyait tout ce qui
sortait et il disait « mais attends, y’a des trucs, c’est à
chier » (…). Il aimait bien aussi Loustal (…) Il y en a plein
là-haut des bandes dessinées…
Vous
nous avez parlé de rencontres qu’il a eues avec un éditeur. A un
moment, il a donc souhaité faire éditer quelque chose ?
C'est-à-dire,
c’était des commandes, il a travaillé sur des synopsis (…), il en avait
fait deux ou trois. Des synopsis à illustrer.
Il avait travaillé
pour Hachette qui voulait sortir, à l’époque, une collection science
fiction et puis il y a eu un gros problème de trésorerie et ils ont
laissé tomber.
C’était lui qui avait fait cette démarche, d’aller voir Hachette ?
La porte d’entrée, je crois que c’était un dessinateur qui s’appelait Vininger (…) Il lui avait eu le rendez-vous chez Hachette.
Le problème de trésorerie, ce n’était pas avec les frères Bogdanov ?(rajouter une note explicative) (son fils)
Aussi mais eux, c’était plus ou moins avorté le truc qu’ils voulaient faire (…).
Donc, à un moment, il a eu le souhait de faire éditer son travail ?
Oui,
bien sûr, mais après, il s’est aperçu que c’était un milieu qui ne lui
convenait pas. Parce que il y avait des échéances à respecter (…), que
l’éditeur imposait ses trucs et que lui, ce n’était pas tout à fait ce
qu’il voulait faire. Il n’avait pas de marges de manoeuvre (…).
On peut observer des débuts de bandes dessinées dans ses travaux. A-t-il souhaitait faire éditer une des siennes ?
Non, parce que, en fait, il y a le problème du scénariste (…).
Il ne voulait pas faire ses propres scénarios ?
Non, il aurait fallu quelqu’un qui lui écrive un texte.
Et il n’a jamais fait de rencontre ?
Et
non, je pense qu’il aurait dû rencontrer François Bourdon bien plus
tôt. C'est-à-dire qu’il en parlait avec Joël Leloup, de la galerie
plein cadre, il devait lui apporter les dessins (…). C’est dommage
puisqu’il aurait pu travailler avec François Bourdon et je pense que
là, il y aurait eu un projet aboutit comme il l’aurait souhaité (…).
C’était un rêveur, il vivait dans son univers, il était un peu
déconnecté (…). Il était très intéressé par la musique, il travaillait
toujours avec de la musique (…).
(Son fils) : De la musique
ambiante, Pink Floyd ou même Patrick O’hearn, l’ancien bassiste de
Frank Zappa mais il écoutait également Bowie, Peter Gabriel, Craig
Armstrong, du jazz aussi Chet Baket, Patricia Barber mais aussi
Debussy, c'était selon l'humeur du moment
(…)
Il travaillait quand ?
Le soir, le week-end, les vacances.
Il passait combien de temps sur une illustration ?
Je ne saurais pas vous dire, parce qu’il travaillait sur plusieurs planches en même temps (…). Il y passait plusieurs semaines.
Dans son travail, il y a beaucoup d’éléments d’architecture, il s’y intéressait beaucoup ?
Oui,
il faisait beaucoup de photos de maisons délabrées, de bâtiments
industriels. Donc il avait une base de données photographique, il
collectait aussi beaucoup d’informations dans les journaux et puis,
effectivement, il s’intéressait aux voitures, aux trains électriques
(…).
On remarque un univers très urbain, très mécanique.
Il
aimait la ville, il ne serait pas allé vivre à la campagne. Il aurait
aimé aller vivre à Bruxelles parce qu’il y a un mélange d’architectures
contemporaines et beaucoup plus classiques.
Avec quels types de techniques travaillait-il ?
De
l’acrylique, de l’encre de chine. Peut être quelque fois du pastel et
des crayons très gras (…). Il avait beaucoup de difficultés à trouver
du papier de bonne qualité (…).
On ne voit que les planches finalisées, mais faisait-il des esquisses, travaillait-il sur des carnets ?
Oui, mais je n’ai rien retrouvé (…).
Nous
avons appris qu’il a travaillait très longtemps en noir et blanc et que
ça a été douloureux, pour lui, de se mettre à la couleur.
Oui,
ça a été difficile. D’ailleurs, on n’a quasiment pas de ses premiers
dessins quand il est passé à la couleur (…). Il a beaucoup regardé
comment les autres travaillait, il aimait bien regarder des
documentaires sur des dessinateurs de bandes dessinées (…) et même en
peinture.
Il regardait quoi en peinture ?
Leur harmonie de couleurs par exemple.
Il aimait qui ?
Il aimait bien Bacon par exemple (…), Delvaux, Magritte, Garouste… En photo, il aimait bien Weegee.
On a pu voir des maquettes, des modèles réduits, les utilisait-il pour réaliser ses planches ?
Oui, effectivement, il a utilisé l’une des voitures (…) qu’il a reprise dans ses planches.
A-t-il eu des évolutions dans son style ?
A un moment, il était plus science-fiction (…).
Ca fait penser à Metal Hurlant, est ce qu’il suivait le magazine ?
Oui, Metal Hurlant, Pilote, A suivre, il a les a tous (…).
A-t-il rencontré des auteurs de bandes dessinées ?
Druillet, plusieurs fois (…). C’était juste des échanges (…).
Etait-ce un insatisfait par rapport à son travail ?
Oui, tout le temps, il voyait toujours un défaut (…). Il n’aimait pas trop les personnages (…).
Comment travaillait-il au niveau du scénario ?
Il
avait son histoire en tête (…) mais je n’ai rien retrouvé par écrit
(…). Il ne partait pas planche par planche, il avait déjà son
cheminement de l’histoire.
Comment est venue l’idée de faire ce livre ?
(…)
C’était sa passion, il aurait voulu faire ça même s’il trouvait qu’il
fallait du texte à des dessins. Mais il ne savait pas comment s’y
prendre. Je me suis dis, il faut que j’essaye de le faire à sa place
(…). Je me dis que ce ne sera pas en vain, il n’aura pas sacrifié tout
pour rien. C’est un petit hommage qu’on voulait lui faire (…).
Il y a plein de références dans son travail.
Oui,
des références à Tintin, à Schuiten (une enseigne dans une rue), des
références au Jazz aussi avec un club New Yorkais qui s‘appelait
Pearland (…), des clins d’oeil à sa vie personnelle par exemple, sur
les ailes d’un avion il a marqué MB 87 (la date de naissance de son
fils) (…), en fait, chacun peut y trouver pleins de choses. Il y a
aussi des choses plus lourdes comme la planche qui s’appelle coloscopie
2009, liée à sa maladie…
Il y a une planche qui s’appelle Alfred, il
y a côté Batman, Tim Burton dedans (…). Il adorait Batman, Blade
Runner, Twin Peaks de David Lynch et il retranscrivait ça dans la vie
(…), il était plein d’humour, il était drôle.
Les Editions du Chameau étaient présentes au salon du livre de Paris du 18 au 21 mars 2011, sur le stand "Livres en Normandie".
Merci à Serge et Chantal, des éditions "du bout du monde" (http://www.editionsduboutdumonde.com/) , pour les photos.
Exposition
"La geste du Roi Renaud"
le dossier de presse (pdf)
le carton d'invitation
Les Éditions du Chameau ont été présentes au salon du livre de
Caen les 17 et 18 mai 2014.
Les deux livres "Caen-Tokyo, un pont d'encre" et "Henri Kegler.
Un instituteur... Des institutions, entretiens avec Bernard Montaclair" ont été présentés à l'occasion du salon.
Les Éditions
du Chameau ont été accueillies par la médiathèque de St-Lô le 6 mars
2015 à l'occasion d'une soirée slam avec Hélène Pin. Nous avons
également présenté les éditions au public nombreux et très chaleureux.
Une vente de livres a cloturé la soirée.
Marie-odile Laîné a signé son livre "Ecoute la route, conversations vélocypédiques" le samedi 11 juin à la librairie Euréka Street, 19 place de la République à Caen et le samedi 18 juin (avec des lectures) dans le cadre de la fête du vélo, à la Maison du vélo 54 quai Amiral Hamelin à Caen.